Science, religion
Bienvenue sur le site du Lecteur Impertinent ! Passionné de lecture, vous trouverez ici des critiques de livres, des coups de cœurs — et parfois des coups de gueule — mais toujours sincères. N'hésitez pas à me contacter via le formulaire ou à laisser votre avis au bas des critiques.
lundi 29 novembre 2021
Dieu, La science, les preuves, Michel-Yves Bolloré Olivier Bonnassies
Science, religion
True story, Kate Reed Petty
Littérature Américaine
La fille du président, B Clinton - Jeff Patterson
Thriller politique
mardi 14 septembre 2021
Le fils du pêcheur, Sacha Sperling
Littérature française- homosexualité
mercredi 8 septembre 2021
Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes, Lionel Shriver
Littérature américaine
mercredi 4 août 2021
Mes Trente Glorieuses, Anne Gallois
mercredi 21 juillet 2021
De mon plein gré, Mathilde Forget.
Littérature française
Plus d'infos, sur Babélio : ICI
Découvert au hasard à la médiathèque de Toulouse, arborant sur la première de couverture, en rouge, « coup de cœur », le roman de Mathilde Forget « de mon plein gré » (Ed. Grasset) n'est pas convaincant.
L'auteur s'est efforcée d'aborder un thème, mille fois traité en littérature aujourd'hui - le viol suivi des sentiments de culpabilité et de fragilité de la femme outragée.
L'héroïne, agent de sécurité, est lesbienne assumée, un tantinet féministe à la limite de la détestation des hommes - Mathilde Forget n'est pas avare d'images et de messages subliminaux éculés.
Pour autant, au petit matin, après une soirée arrosée, elle abandonne une amie - qui désapprouve son attitude - et embarque un homme à son domicile dont les intentions n'étaient pas équivoques.
Et puis le viol…
Le sujet du viol méritait mieux que ce roman sans épaisseur, aussi bien du point de vue des personnages, quasiment inexistants, que du récit lui-même - totalement désordonné, empreint d'aphorismes, de reproductions de textes, de spéculations et de répétitions creuses et insipides.
L'insistance permanente entre l'homosexualité féminine et le viol des femmes est très réductrice et sectaire.
Un roman très approximatif, voire raté.
Michel BLAISE, 2021©